Sous la lame égouttée au destin d’une écume
Quand la vague océane étouffe de son cri,
Les amoureux transis perçoivent l’amertume
De cet enfer de feu quand l’ivresse périt.
Oufff tieram. Magistrale
Sous /la /la/me é/gout/tée /au /des/tin /d'u/ne é/cume12F
Quand /la /va/gue o/cé/a/ne é/touf/fe /de /son /cri12M
Les /a/mou/reux /tran/sis /per/çoi/vent /l'a/mer/tume12F
De /cet /en/fer /de /feu /quand /l'i/vres/se /pé/rit12M
Les coupes du deuxième vers, chapeau bas Madame, dommage je trouve le transis à l'hémistiche qui sonne un peu en écho avec périt. Après dans le feu de l'écriture ce n'est pas toujours évident. Simplement une merveille votre poème.
Les amoureux figés fi..... gés perçoivent.... Avec écume en haut l'allitération aurait été pas mal dans le sens où l'on entendrait le ressac de l'océan de nuage. Puis cela produit une sorte de double élan pour le roulis des vagues de nuages. C'est juste un avis si mon commentaire vous dérange je le retire et m'en excuse au près de vous.